J’me souviens de ces premieres fois loin l’un de l’autre et de ces premieres fois, ou l’on apprenait a se connaitre.
J’me souviens des sourires, de ces mots, de ces mains.
il etait une fierte. mais en amour, il n’y a aucun fierte. alors au fur et a mesure que l’amour s’estompait, je m’en suis allee et c’est reste. au fur et a mesure que le temps passait, il s’en est reste et il a quitte.
en partant, l’amour s’estompait. et pourtant, une fois part, J’me suis rendue compte que l’amour est au coin de toutes ces trucs qui nous liaient et que je pretendais ne pas voir.
l’amour etait la constamment, en permanence, ds un regard et ds une presence.
parce qu’aujourd’hui, nous sommes exigents et en meme temps tellement incertains.
l’amour ne reside ni en une phrase, ni en une conversation telephonique. l’amour c’est cette presence qui vous entoure a chaque fois que vous en ressentez le besoin, l’amour votre seront ces bras qui vous enlacent a chaque fois que vous en ressentez le besoin, l’amour ce sont ces levres qui vous consolent a chaque fois que vous avez besoin.
l’amour, c’est en somme 1 poids trop lourd. puisqu’il comporte regrets et souvenirs.
l’ensemble de ces souvenirs qui vous lient a lui et qui vous font affirmer qu’il demeure i nouveau qql chose de ce amour et de toutes ces fois. parce que tout comme vous avez ete la seule, military cupid inscription il a ete le seul.
le seul, a vous avoir fera decouvrir l’amour un beau jour d’hiver.
l’ensemble de ces souvenirs que vous caressez de vos larmes. ces larmes qui vous rechauffent, parce que douces et ameres.
l’amour, c’est tel la pluie, ca tombe du ciel, ainsi, vous ne vous y attendez peut etre nullement. mais si peu d’individus pour lever la tete.
je regrette d’avoir garde le regard rives au sol. quand bien cet amour me provenait du ciel.
je ne l’ai jamais surpris partir, mais j’aurais du le retenir. je n’ecris ni concernant le retenir ni concernant le maintenir. je marque parce que bien ce qui me lie a lui, bien ce qui me fait voir les autres differemment, est et demeure en moi.
parce que je me suis rendue compte, non trop tard que je l’aimais. parce que je sais tout simplement que je l’aime.
parce que l’amour n’est ni un amour ni un apprentissage, ainsi, qu’un coeur blesse continue d’aimer.
parce que le plus excellent des combat est celui qu’on se livre a soi meme.
parce que l’amour est tel la pluie qui nous lave de tout cela est derisoire.
parce que je l’aime.
e l’ai surpris partir. sans la retenir
Un matin ou rien ne presageait, elle s’en a mange. Comme chaque matin, elle est passe me penser bonjour. Mais aujourd’hui j’ai ete le dernier jour. Elle est venue par moi, le sourire tout d’un ange via ses levres. Son regard petillant mais de la tristesse autour. elle a ennivre de son parfum, ebloui de le teint. ses levres sur ma joue, rien De surcroi®t doux. sans me penser que c’etait la derniere, J’me suis laisse faire. Comme chaque matin sur les quais, on s’en a mange. prendre le train de une quotidien. Puis le train a demarre, de nous il ne s’est gui?re soucie. ne sachant ou nous mener. Puis tu m’as fixement regarde, intensement fixe. figeant surement mon image dans ta memoire. de la tendresse inegale ta tete tu as pose, sur mon epaule attentionne. Coeur serre, mains moites et regard brouille je commencais a saisir l’instant. je venais de comprendre qu’un tel moment ne se reproduirai pas. que cette premiere va etre aussi la derniere fois. du regard je t’ai cherche, est en mesure de etre aussi supplie de ne point me quitter. tu l’as fuis, pourra etre lache mais tu as persiste sans relache. pourquoi as tu decide de gacher une amitie t’ai je demande. ta tete tu as releve, puis fixement regarde et soudainement lache “parce que je t’ai forcement aime”. Durant toute ces annees, je t’ai comme soeur considere, tel amie aime, comme confidente adopte. Voila que je m’apercois que d’amour tu me couves, d’attention tu me prouves. Un silence s’est installe, lourd, pesant. moyen peut etre aussi s’est arrete. voulait y surement lui aussi que je reflechisse. Mais je n’ai rien dis. je n’ai rien fais. Le train semble s’i?tre arrete, tu t’es leve, la a semble s’i?tre ouverte. Ton regard, au mien, a la quete. Cherchant est en mesure de etre mon aide, une reponse ou que je te retienne. Rien n’y fera, je t’ai laisse descendre, ton destin pose i ci?te, prendre. le train a redemarre, dans le quai tu es reste fige, a me analyser. Des larmes j’ai verse, perdre ton amitie, j’y reste cede. Notre vie a continue, le train forcement continue a avancer. Nos souvenirs ont commence a me hanter, m’habiter. Puis soudainement je me suis leve, vers la a dirige. j’ai voulu le train, arrete. Mais il s’est emballe. Ton prenom j’ai crie. tu me manquais. Ton regard sur moi, plus jamais ne se posera, ton sourire plus pas, les journees n’enjoliveras. mais J’me suis surtout a votre instant apercu que je t’aimais d’amour tout court.